Suite de la série d’articles « A travers le monde« , après Le Canada et la Suisse, la Belgique, puis le Québec et à nouveau la Suisse, cette fois-ci prenons ensemble la direction de Berlin, où Grego participera au fameux Marathon de Berlin.
Voyons ce qu’il en pense :
– Qu’est ce qui t’a incité à (re)faire cette course ?
J’ai laissé le destin décider pour moi. En effet j’ai gagné le droit de participer à ce marathon grâce au tirage au sort à la loterie à laquelle je m’étais inscrit en septembre dernier, juste après l’avoir couru. Ce marathon est formidable et son finish inoubliable.
Bof pas vraiment. Ce marathon arrive trop tôt dans la saison. Il m’est difficile durant l’été de m’entraîner correctement et puis la semaine de congé apporte des perturbations : impossible d’aller courir. Bref à l’instar de l’année dernière j’irai courir en mode touriste en ayant juste fait le minimum pour maintenir ma forme (3 séances / semaines soit 6 heures en moyenne). Le chrono est celui qui correspondra à ma « base line ». Mais en aucun cas je ne pourrai battre mon record enregistré à Chicago en 2014 pour cause de manque de préparation spécifique.
Le marathon de Berlin est connu pour être celui des records … pour l’élite. Les records du monde y ont été enregistrés. En revanche je ne dirai pas qu’il est vraiment si roulant que cela pour le coureur « »tout venant » comme moi. Il est plus difficile que celui de Chicago par exemple.
– Après tes 3h26 en 2015, quel temps comptes-tu faire cette année ?
La même chose… et en essayant de faire juste un peu mieux de quelques secondes pour la forme. Mais de toutes évidence je ne pourrai pas faire beaucoup mieux.
J’en garde un très bon souvenir. En fait ce n’est pas tant la Porte de Brandeburg qui est « émotionnellement intense » que le brouhaha et l’ambiance monstrueuse. J’ai le souvenir d’un bruit assourdissant venant de la foule sur le dernier Km. C’est très très fort.
Marathon de Berlin 2016 : le point d’ici dimanche prochain.
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